Le Growth Hacking,
qu'est-ce que c'est ?

Difficile à définir, nous allons tenter de vous expliquer ce qu’est le Growth Hacking. Certaines personnes le définissent comme un état d’esprit, mais cela ne répond pas à notre question. Le Growth Hacking, c’est une technique ou une pratique qui n’est pas toujours très conventionnelle. D’où le mot “Hacking”. Le but du Growth Hacking est de réaliser une croissance exponentielle pour un produit ou un service. Pour cela, on utilise la matrice AARRR.
Im'Pulsive - Propulsion grâce au Growth Hacking

La matrice AARRR

La matrice AARRR est structurée comme le tunnel de conversion. Son acronyme ? Acquisition, Activation, Rétention, Referral (référence), Revenu. Cet acronyme correspond tout simplement aux différentes étapes du Growth Hacking.
Im'Pulsive - Growth hacking - Matrice AARRR
  • Acquisition : cette première étape consiste à attirer les internautes vers un service à travers différents canaux (réseaux sociaux, SEO, SEA, etc.). Cette étape est utile pour que le consommateur visualise et comprenne rapidement le message à communiquer.
  • Activation : le but de cette étape est de transformer un internaute en un utilisateur. Cela peut se réaliser à travers divers outils comme les newsletters. L’internaute doit être intéressé par le contenu proposé.
  • Rétention : son but est de faire aimer le produit ou service à l’utilisateur. C’est une étape importante à ne pas négliger car si l’utilisateur aime, il devient actif.
  • Referral : le terme viralité vous connaissez ? C’est ce que recherche cette étape. Il est question ici de transformer un utilisateur en ambassadeur. Et pour cela, rien de plus simple que des codes promos ou même du parrainage !
  • Revenu : c’est seulement à cette étape que l’ambassadeur, qui est alors un utilisateur actif, devient un client. Votre utilisateur devient alors votre chiffre d’affaires.

Le Growth Hacking en exemple

Candy Crush : À l’image de Spotify, Candy Crush s’est associé à Facebook pour faire augmenter son nombre d’utilisateurs. La difficulté pour un jeu est de se faire connaître et de faire adhérer ses utilisateurs à l’application. En utilisant Facebook, les concepteurs de Candy Crush ont su susciter de l’intérêt pour ce jeu. En partie en permettant aux utilisateurs de partager leur avancée sur le fil de discussion, mais aussi en les poussant à inviter d’autres joueurs. Cela permettait aux joueurs de gagner de nouvelles vies et de continuer à jouer plus longtemps. L’autre élément qui pousse l’utilisateur à continuer de jouer est la possibilité de voir l’avancée de ses amis sur une carte des niveaux. Cela amène le joueur à vouloir être meilleur que ses amis et à jouer plus souvent.

Tinder : Pour se faire connaître, Tinder a utilisé la deuxième étape du AARRR, soit l’Activation. Son but était de faire aimer l’application et par conséquent, de la faire installer. Par quel moyen ? Ils ont organisé une soirée dans une université aux Etats-Unis. Pour pouvoir accéder à cette soirée, il fallait avoir installé l’application Tinder sur son téléphone. Ensuite Whitney Wolfe, la cofondatrice de la plateforme, passait de fraternité en fraternité afin de pousser les étudiants à s’inscrire sur la plateforme.
Im'Pulsive - Le métier de Growth Hacker

Le métier de Growth Hacker ?

Le Growth Hacking est devenu un véritable métier. Ce n’est ni du développement web ni du marketing : c’est en fait un peu des deux. Son but est d’augmenter le nombre d’utilisateurs d’un produit ou d’un service à moindre coût. Le Growth Hacker utilise beaucoup les nouvelles technologies et doit donc en avoir connaissance. Il utilise notamment la matrice AARRR qui est une base de référence pour son métier. La grande différence avec un marketer c’est que le Growth Hacker, lui, possède un budget très restreint.
Comme vous pouvez le voir, le Growth Hacking fonctionne plutôt bien. Il faut savoir l’utiliser et ce n’est pas toujours chose aisée ! Alors si vous souhaitez en savoir d’avantage et utiliser cette pratique pour votre activité, n’hésitez pas à contacter l’Im’Puls’Team !